Monastère Kong Meng San Phor Kark See, monastère Lian Shan Shuang Lin et temple Cheng Huang – 12 août

NB : Le titre de cette entrée est le titre le plus long de toute l’histoire du blogging amateur (à l’exception de Spencer Johnson qui, aidé de son chat, avait publié un article nommé « It was a good tradsdsfinsdopifpdshphsdqfpuhqsdubfqiubsuinfudqsnfpiubsdiufiubsd fiubiusdbqfubdsuifbuqibsdfiubsdiubfiubsdiufbqbfsdiubf qsdufubsdf bqsdiufbuibsdquf usdq bdsfbdsiuqhbf ubsd iuqf »). Merci de votre attention.

Budget toujours aussi limité pour le moment. Du coup, j’en profite pour aller faire de nouvelles découvertes à Singapour. Et oui, c’est encore possible !! C’est parti pour visiter 2 monastères situés dans des coins plus reculés (j’entends par là, pas à côté du métro).

Arrivée au monastère de Kong Meng San Phor Kark See (merci à l’inventeur du copier/coller !) (bus 52 depuis Bishan pour les « aventuriers ») et voici qui nous accueille : ce bon vieux Matthieu Ricard !

Le monastère est un vrai mélange de genres ! Une combinaison d’architectures que j’avais pu voir séparément dans les différents pays de la région.

Un dragon bronzant (et non bonzant pour les bouddhistes amateurs d’humour et de fautes de frappe)

Pour info, on se trouve dans le plus grand temple de Singapour. On trouve pas moins de 12 bâtiments (de mémoire).

La nature ne fait pas toujours bien les choses ou le ridicule « poisson dragon mangeur d’enfants »

Le premier qui me parle de croix gammées peut bouncer direct !

 

Ma photo(shopée) préférée

Je le dis pour les gens pour qui ce n’était pas évident : à voir !

NB : couleurs non originales (ou alors veuillez consulter un ophtalmo)

Collection de bouddha et une stuppa. Vous vous souvenez de ce qu’elle représente, j’espère ? Sinon, direction mes anciens articles ;)

 

Reprise de l’arroseur arrosé : « l’arroseur arrose ». C’est vachement moins marrant…

[insérer ici un commentaire pertinent et qui se veut drôle]

Évidemment, il y a des moines dans le monastère. Le monastère est tout équipé (dortoir, bibliothèque, etc.) mais ne cherche pas acheteur, à part pour les traditionnelles figurines sur les murs (vous voyez de quoi je parle ou vous avez encore la mémoire courte ?).

On prend le bus et le métro jusqu’à Tao Payoh (et non Tao Pai Pai), puis 10 minutes de marche pour arriver au temple Cheng Huang et au monastère Lian Shan Shuang Lin.

Ambiance beaucoup plus « chinoise » ici

 

La ferveur est là

Les traditionnels gardiens aussi

Bien sûr, Adrien est avec moi depuis le début de l’après-midi mais vous vous en étiez douté

 

Un autre bon complexe comme je n’en avais plus vu depuis le Japon (ou presque)

Définitivement un endroit à découvrir lorsque vous penserez avoir déjà tout découvert à Singapour :) Merci de votre lecture et désolé pour les blagues, elles sont de moi.

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