Phnom Penh – 29 janvier

Un mois tout juste après être revenu de mon super trip, je redécolle pour l’étranger. Il ne s’agit toutefois cette fois que d’un week-end. Bref, durée : 2 jours ; destination : Phnom Penh ; excuse : profiter du passage de Caro (une amie de l’EDHEC) pour visiter la ville ; humeur : excellente ; longueur des cheveux : passe encore…

Le tuk-tuk qui m’amène de l’aéroport au centre ville me permet de résoudre l’une de ces légendes de voyage dont j’entends parler depuis des mois : quelque part au Cambodge, il est possible de tirer au bazooka sur une vache o_O !!? Vue l’affiche, il semblerait bien que cet endroit existe réellement… sic!

Caro et sa soeur retrouvées, on commence immédiatement la visite de la ville avec le Palais royal

Je suis pas sûr qu’il vaille le Grand Palais de Bangkok mais au moins il est plus paisible…

 

Les plafonds

 

Le salon à thé

 

Et sur les murs, on retrouve une fresque où combattent humains, démons et singes. Le style et surtout l’état de conservation sont bien différents de ce que j’ai pu voir à Bangkok.

 

 

 

Les quais ont été somptueusement aménagés en une sorte de promenade. On peut y voir le Tonle Sap se jeter dans le Mekong.

 

Des statues font les clowns… Au même moment, de l’autre côté du globe, Ben Ali et consorts commencent à tomber (je crois que je m’en souviendrai toujours lorsque je penserai à ma visite de Phnom Penh)

 

Question existentielle : comment les hommes/femmes à plusieurs bras peuvent-ils supporter le poids de tous ces avant-bras sans avoir un biceps surdéveloppé ?

 

Il est pas mignon ?

 

Le Wat Phnom

 

 

Souvenirs d’Angkor qui reviennent

 

 

Salon de l’auto de Phnom Penh : la première (et seule ?) voiture cambodgienne présentée par de charmantes hôtesses

 

Ils font des tracteurs aussi :P

 

Et bien sûr, au beau milieu de la ville : Central Park ! Euh non… En fait, un grand terrain vague avec un lac en cours d’assèchement pour y construire un nouveau quartier.

La nuit tombe

Angkor n’est pas loin

Venu pour aller boire un verre, nous profitons d’un bar sur les toits pour partager impressions et souvenirs, déguster coktails, changer 3 fois de table et découvrir l’incroyable animation de Phnom Penh by night…

(Attention, l’une des déclarations ci-dessus est largement exagérée, à vous de découvrir que c’est évidemment la dernière…)

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